mercredi 5 mai 2010

Etape 5 :: Udine

Les cyclistes ont déposé leurs vélos à Udine ce soir, après avoir parcouru 242 km. Première urgence une fois l'hôtel déniché: prendre une douche bien bien chaude. C'est qu'en montagne, la température ne dépasse pas les 5° en cette période de l'année. Un crochet par l'Autriche fut même nécessaire, certains cols des Dolomites étant fermés pour cause de neige. Rajoutez à tout ça une pluie discontinue pendant 230 km... et vous retrouvez deux Frères Colson frigorifiés et trempés. Bèbert a même dû rajouter deux couches en chemin... "On aurait dit Mathieu", confesse Chachales. ;-)

Malgré la pluie, les deux Frères sont heureux ce soir. Ils ne se sont pas perdus, ont gravi quelques cols (un vrai plaisir évidemment)... et ont rattrapé leur retard accumulé sur les routes allemandes pas toujours autorisées aux vélos. Et oui, même si ce n'est pas une course, Bèbert et Chachales veulent garder une certaine cadence. Pas sûr donc qu'ils prendront le temps d'aller visiter les cathédrales, palais et autres châteaux majestueux que compte leur ville-étape du jour, capitale de la région du Frioul.
Piazza Liberta à Udine

Fini la montagne, pour quelques heures en tout cas. La fine équipe descendra vers Trieste demain, au bord de la mer Adriatique. De superbes paysages en perspective! Mais l'objectif du jour sera la Slovénie, 5e et avant-dernier pays que les deux Frères traverseront dans leur périple. Les jambes suivent toujours, la motivation et la bonne humeur restent bien présentes. Que demander de plus? Allez, un peu de soleil! 

3 commentaires:

  1. Après cette journée dans le froid et la pluie ,je vous souhaite à tous les deux une bonne nuit, une bonne récupération pour demain ....

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  2. Bonne arrivée à Trieste
    Albert , n'oublie pas de visiter ....
    Si tu as le temps ?
    Allez bon courage et bonne chance pour
    la suite de l'aventure .
    Amicalement
    Jean ETIENNE

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  3. Après le froid, la pluie, qu’enfin le beau temps

    Accompagne le duo sympathique

    Sur la route de Dubrovnik

    Du matin au soir pédalant

    Et toujours plein d’allant.

    Que leur cadence infernale

    Ne prive pas Bebert et Chachales

    D’observer les paysages

    De ce fabuleux voyage.

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