Pour préparer au mieux notre sprint final, voici quelques belles sources d'inspiration:
- Extraits de "Petite éloge de la bicyclette" de Eric Fottorino
" Les gueules noires n'existent plus, ou seulement les jours de Paris-Roubaix, quand la pluie s'en mêle et que les seuls hommes à rester debout sont des hommes de boue.
(...)
Question position, explique Marc Madiot, il n'y a pas de solution idéale. Chaque coureur improvise. Il s'agit de na pas être raide sur sa machine. Ensuite, il faut essayer de faire corps au maximum avec le vélo. Ce jour-là, rajoute-t-il, il faut aimer son vélo au maximum.
Johan Musseuw, gueule noire de Roubaix |
Malgré la fermeture du dernier puits à houille, le Paris-Roubaix rejoue en plein air la geste des gueules noires. De la sueur et des larmes, des figures de carnaval avec la peau passée au bouchon brûlé: ce sont des images de pédale comme il en est d'Epinal."
courage les gars
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